Linux est la conséquence d'un heureux accident : la suppression par inadvertance d'une partition Minix
« c'est la deuxième chose qui m'a amenée à poursuivre ce projet », indique Torvalds
Le 2019-12-06 09:30:13, par Patrick Ruiz, Chroniqueur Actualités
Linux c’est déjà plus de 25 ans d’histoire. À la réalité, on peut, sans se tromper, parler de 28 ans si l’on compte à partir de 1991, année à laquelle Linus Torvalds a, pour la première fois, passé l’annonce de la future disponibilité de Linux.
« Salut à tous ceux qui font usage de Minix. Je suis en train d’écrire un système d’exploitation (libre) (il s’agit juste d’un hobby, ce ne sera pas quelque chose du niveau de gnu) pour les clones de 386 et 486. Le projet est en gestation depuis avril et prend forme petit à petit. J’aimerais recevoir des commentaires sur les aspects que les gens aiment ou n’aiment pas dans Minix étant donné que mon système d’exploitation lui ressemble quelque peu (même organisation physique du système de fichiers – pour des raisons pratiques – entre autres). J’ai procédé au portage de bash 1.08 et de gcc 1.40 et les choses tournent plutôt bien. Ceci implique que je vais déboucher sur quelque chose de concret dans quelques mois et je voudrais savoir quelles sont les fonctionnalités dont les utilisateurs auront le plus besoin. Toutes les suggestions sont les bienvenues, mais je ne peux promettre que je les implémenterai toutes. Attention : ce système d’exploitation ne s’appuie pas sur le code Minix et son système de fichiers prend en charge les threads multiples. Il n’est pas portable et ne supportera probablement jamais rien d'autre que les disques durs AT, car c'est tout ce dont je dispose », écrivait-il alors.
À l’époque, la collecte d’avis de Linus Torvalds vient compléter un effort de démarcation d’avec Minix. En effet, contrairement au choix du professeur Tanenbaum d’asseoir Minix sur un micronoyau, Linus choisit de rester sur les bases d’Unix et adopte une structure de noyau monolithique pour son OS qui s’inspire pourtant des développements au sein de Minix. « Je pense que concevoir un noyau monolithique en 1991 est une très mauvaise idée. Estime-toi heureux de ne pas être un de mes étudiants. Tu n'obtiendrais pas une bonne note pour une telle conception », avait lancé Tanenbaum à Linus. Il y a en effet que le professeur était d’avis que l’avenir des systèmes d’exploitation repose non pas sur les noyaux monolithiques, mais sur les micronoyaux.
Une publication du musée de l’histoire de l’ordinateur dévoile des facettes additionnelles de l’histoire de Linux. De façon brossée, ce qu’il faut souligner est que le célèbre est la conséquence d’un heureux accident.
On est en 1990. Après un VIC-20 et un Sinclair QL, Linus fait l'acquisition d'un PC compatible IBM gris livré avec une version de DOS qu'il remplace par Minix (qui tenait sur 16 disquettes). À l’époque, Minix n’est pas doté d’un émulateur de terminal satisfaisant pour Linus, ce qui le pousse à concevoir un. La manœuvre l’amène à glaner une meilleure compréhension des aspects hard de son ordinateur. En effet, il est, dans le processus, contraint d’avoir une parfaite maîtrise de ce qui se passe au sein du système de fichiers ; il doit aussi arriver à mettre sur pied un pilote pour les opérations d’écriture et de lecture sur disque dur. Les contraintes imposées par la conception de cet émulateur vont donc s’avérer être le début de l’aventure Linux.
En 1991, Linus a achevé avec la mise sur pied de l’émulateur de terminal. Il s’appuie sur ce dernier pour l’exécution d’un script de numérotation automatique destiné à récupérer des flux d’informations sur les ordinateurs de son université. Le tout tourne sur le noyau Linux de l’époque et Linus est satisfait, ce, pour au moins deux raisons : il a atteint les objectifs qu’il s’était fixés et de son point de vue Linux était déjà meilleur que Minix. En fait, Linus révèle même qu’il aurait pu s’arrêter pour ces motifs parce que c’est ce qu’il avait pris l’habitude de faire dans des circonstances similaires pour d’autres projets.
C’est grâce à la survenue de ce qu’on peut qualifier d’heureux accident que le projet n’a pas été envoyé aux oubliettes. En effet, Linus se servait principalement de Linux pour accéder à son flux de nouvelles. Une mauvaise manipulation avec le script de numérotation automatique l’a amené à supprimer par inadvertance la partition Minix support de ses travaux de développement. C’est à partir de cet incident qu’il a poursuivi sur la lancée du « Linux est désormais meilleur que Minix » en mettant sur pied les programmes pour la compilation du noyau sur la plateforme elle-même. Passé cette étape, Linus s’appuyait sur Minix uniquement dans les cas où il fallait lui emprunter une nouvelle fonctionnalité.
L’ouverture du code source à la communauté a eu lieu en (1992) sous licence GPL. Depuis, le hobby s’est transformé en un énorme projet. En 2018, le dépôt du noyau Linux était composé de 61 725 fichiers pour un total de 25 584 633 lignes de code. Ceci, sans compter la documentation, les fichiers Kconfig, les assistants et utilitaires, etc. Après plus de deux décennies, le développement de Linux se poursuit de façon active. L’an passé, le projet enregistrait un total de 782 487 commits issus de plus de 19 000 auteurs. C’est dire l’engouement de la communauté autour d’une initiative dont Linus Torvalds reste l’un des contributeurs les plus fréquents. En effet, l’informaticien d’origine finlandaise a concentré à lui seul 3 % de la totalité des commits l’an dernier.
Source : Computer History Museum
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
En plus de 25 ans d’histoire quels sont les aspects qui, selon vous, font de Linux un succès qui est parti d’un hobby ?
De l’autre côté, quelles sont les tares que Linux continue à traîner et qui l’empêchent de s’imposer dans des filières comme le desktop ?
Voir aussi :
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« Salut à tous ceux qui font usage de Minix. Je suis en train d’écrire un système d’exploitation (libre) (il s’agit juste d’un hobby, ce ne sera pas quelque chose du niveau de gnu) pour les clones de 386 et 486. Le projet est en gestation depuis avril et prend forme petit à petit. J’aimerais recevoir des commentaires sur les aspects que les gens aiment ou n’aiment pas dans Minix étant donné que mon système d’exploitation lui ressemble quelque peu (même organisation physique du système de fichiers – pour des raisons pratiques – entre autres). J’ai procédé au portage de bash 1.08 et de gcc 1.40 et les choses tournent plutôt bien. Ceci implique que je vais déboucher sur quelque chose de concret dans quelques mois et je voudrais savoir quelles sont les fonctionnalités dont les utilisateurs auront le plus besoin. Toutes les suggestions sont les bienvenues, mais je ne peux promettre que je les implémenterai toutes. Attention : ce système d’exploitation ne s’appuie pas sur le code Minix et son système de fichiers prend en charge les threads multiples. Il n’est pas portable et ne supportera probablement jamais rien d'autre que les disques durs AT, car c'est tout ce dont je dispose », écrivait-il alors.
À l’époque, la collecte d’avis de Linus Torvalds vient compléter un effort de démarcation d’avec Minix. En effet, contrairement au choix du professeur Tanenbaum d’asseoir Minix sur un micronoyau, Linus choisit de rester sur les bases d’Unix et adopte une structure de noyau monolithique pour son OS qui s’inspire pourtant des développements au sein de Minix. « Je pense que concevoir un noyau monolithique en 1991 est une très mauvaise idée. Estime-toi heureux de ne pas être un de mes étudiants. Tu n'obtiendrais pas une bonne note pour une telle conception », avait lancé Tanenbaum à Linus. Il y a en effet que le professeur était d’avis que l’avenir des systèmes d’exploitation repose non pas sur les noyaux monolithiques, mais sur les micronoyaux.
Une publication du musée de l’histoire de l’ordinateur dévoile des facettes additionnelles de l’histoire de Linux. De façon brossée, ce qu’il faut souligner est que le célèbre est la conséquence d’un heureux accident.
On est en 1990. Après un VIC-20 et un Sinclair QL, Linus fait l'acquisition d'un PC compatible IBM gris livré avec une version de DOS qu'il remplace par Minix (qui tenait sur 16 disquettes). À l’époque, Minix n’est pas doté d’un émulateur de terminal satisfaisant pour Linus, ce qui le pousse à concevoir un. La manœuvre l’amène à glaner une meilleure compréhension des aspects hard de son ordinateur. En effet, il est, dans le processus, contraint d’avoir une parfaite maîtrise de ce qui se passe au sein du système de fichiers ; il doit aussi arriver à mettre sur pied un pilote pour les opérations d’écriture et de lecture sur disque dur. Les contraintes imposées par la conception de cet émulateur vont donc s’avérer être le début de l’aventure Linux.
En 1991, Linus a achevé avec la mise sur pied de l’émulateur de terminal. Il s’appuie sur ce dernier pour l’exécution d’un script de numérotation automatique destiné à récupérer des flux d’informations sur les ordinateurs de son université. Le tout tourne sur le noyau Linux de l’époque et Linus est satisfait, ce, pour au moins deux raisons : il a atteint les objectifs qu’il s’était fixés et de son point de vue Linux était déjà meilleur que Minix. En fait, Linus révèle même qu’il aurait pu s’arrêter pour ces motifs parce que c’est ce qu’il avait pris l’habitude de faire dans des circonstances similaires pour d’autres projets.
C’est grâce à la survenue de ce qu’on peut qualifier d’heureux accident que le projet n’a pas été envoyé aux oubliettes. En effet, Linus se servait principalement de Linux pour accéder à son flux de nouvelles. Une mauvaise manipulation avec le script de numérotation automatique l’a amené à supprimer par inadvertance la partition Minix support de ses travaux de développement. C’est à partir de cet incident qu’il a poursuivi sur la lancée du « Linux est désormais meilleur que Minix » en mettant sur pied les programmes pour la compilation du noyau sur la plateforme elle-même. Passé cette étape, Linus s’appuyait sur Minix uniquement dans les cas où il fallait lui emprunter une nouvelle fonctionnalité.
L’ouverture du code source à la communauté a eu lieu en (1992) sous licence GPL. Depuis, le hobby s’est transformé en un énorme projet. En 2018, le dépôt du noyau Linux était composé de 61 725 fichiers pour un total de 25 584 633 lignes de code. Ceci, sans compter la documentation, les fichiers Kconfig, les assistants et utilitaires, etc. Après plus de deux décennies, le développement de Linux se poursuit de façon active. L’an passé, le projet enregistrait un total de 782 487 commits issus de plus de 19 000 auteurs. C’est dire l’engouement de la communauté autour d’une initiative dont Linus Torvalds reste l’un des contributeurs les plus fréquents. En effet, l’informaticien d’origine finlandaise a concentré à lui seul 3 % de la totalité des commits l’an dernier.
Source : Computer History Museum
Et vous ?
Voir aussi :
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Qu’en pensez-vous ?En plus de 25 ans d’histoire quels sont les aspects qui, selon vous, font de Linux un succès qui est parti d’un hobby ?
Perso, la documentation, sa logique qui rendait tout évident et d'avoir découvert qu'on était pas obligé d'acheter un compilateur 2500 balles pour créer ses propres logiciels...De l’autre côté, quelles sont les tares que Linux continue à traîner et qui l’empêchent de s’imposer dans des filières comme le desktop ?
Chez Asus par exemple, il était trop risqué de se mettre microsoft à dos ce qui l'a obligé à faire machine arrière quand il a commencé à proposer des machines sous linux. Microsoft a par la suite acquit un maximum de brevet unix de tout genre pour menacer toute entreprise qui tenterait l'aventure linux et de les poursuivre pour violation de brevet/licence.
Il y a même eu une courte période ou microsoft a fait comme monsento, envoyer des "pseudo" shérif pour aller contrôler directement dans des entreprises si toutes les licenses étaient Ok.
Il me semble même que Ford ou une autre grosse boîte du type avait menacé microsoft de basculer full linux s'il ne changeait pas de comportement. En allemagne des administrations avaient basculé full linux avant de faire machine arrière suite aux pressions de microsoft et de lobbyistes.
C'est le problème avec une boite avec beaucoup de pognon d'un coté et un système gratuit de l'autre, ils ne jouent pas dans la même coure.
Après on a lu ici ou là que ça manquait d'uniformisation d'une distrib à l'autre et tout un tas d'argument foireux alors qu'il y avait 2 WM déjà en place, KDE et Gnome + debian qui était la norme et faisait très bien le job à l'époque.
Linux était aussi bien plus performant avec les jeux quand directX était complètement à la ramasse, chose que microsoft voyait comme un danger imminent.
Ubuntu est pour le moment LA distrib pour n00b par excellence et même eux arrivent à l'installer/l'utiliser sans problème. Elle est aussi la distrib de dev plus ou moins références pour certains projets comme Android (pas revérifié depuis 5 ans mais ça doit toujours être le cas).
La tare que linux continue de se trainer c'est microsoft, le système miteux mais riche en $$$
La seconde tare est Google qui n'arrive pas à en prendre le contrôle, ça sent mauvais.le 06/12/2019 à 10:21 -
jvalloisMembre éprouvéEt si tu nous disais ce qui est faux ou approximatif, que l’on puisse enlever nos œillères ?le 07/12/2019 à 15:30
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disedorgueExpert éminent séniorSi l'OS était pré-installé par le fabricant, tout comme windows, celui-ci fonctionnerait sans mal dés le départ, donc arrêtez avec cette fausse excuse.
Si les fabricants se décidaient vraiment à fournir de base linux, peut-être que les fabricants de hardware fourniraient aussi des pilotes qui fonctionneraient sous linux et que comme ça, la communauté ne serait pas obligée d'attendre d'être en possession du matos pour faire du rétro engineering pour pouvoir fournir le pilote.
Microsoft impose au fabricant tandis que linux subit le fabricant.le 07/12/2019 à 22:17 -
Ca fait déjà pas mal d'années que si. Install ubuntu et tu verra. Avant tu avais Mandrake qui l'était dès l'installation tout comme Fedora ou encore SUSE, Knoppix etc. RTFMle 07/12/2019 à 20:05
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darklinuxMembre extrêmement actifun cable ethernet , une box et
$ su
$ apt - get update
ou comment oser écrire une connerie de ce genre fin 2019le 10/12/2019 à 10:19 -
Prochaine fois que tu parlera de l'OS d'apple, pense bien à préciser si tu parles d'XNU, de GNU, d'aqua, de darwin, de cocoa pour chaque phrase, précision indispensable pour des habitués de l'informatique pour bien comprendre de quoi on parle. N'oublie pas l'importance de parler de BSD et de NeXTSTEP non plus.
C'est qu'ils sont pas très futé les informaticiensle 07/12/2019 à 22:56 -
stardeathExpert confirméje voulais pas être méchant mais la totalité du post est à revoir ...
asus et l'eeepc (je suppose que c'est le modèle qui est décrit, vu que ce n'est pas précisé, mais asus et linux, il n'y a pas des masses de choix), pour rappel l'os de base c'est xandros et à la même époque c'est debian 4, je vous laisse aller les chercher pour vous rappeler de la grande qualité de ces os ...
en face, microsoft n'a que vista, ils ont donc du resortir xp à la va vite, avec une licence moins chère adaptée et étendre la durée du support.
malgré tout, les machines avec win xp était moins bien dotées niveau hardware et plus chères que les machines sous nux, et pourtant elles se sont mieux vendus, jusqu'à faire disparaître les machines sous nux, un comble.
les shérifs de microsoft, j'aimerai bien avoir un petit article la dessus d'ailleurs, n'ont visiblement pas poussé les entreprises à passer à la concurrence, et au passage, des experts qui viennent contrôler les licences, j'en ai vu plusieurs dans ma carrière, je sais pas ce qui est choquant la dedans...
pour munich, faudra vérifier, mais ils n'ont jamais été full linux, d'où une partie des problèmes qu'ils n'ont pas été capables de résoudre.
l'uniformisation, déjà à l'époque (2007) il y avait des dizaines de distribs et tout autant de window managers, donc dire, kde gnome et debian était la norme, non pas vraiment, désolé.
ensuite linux et les jeux vidéos ... surtout comparer à directx, va falloir être un chouïa plus clair, parce que là, il y a un sacré mélange des genres.
microsoft n'a jamais été responsable du chantier dans l'écosystème linux (il n'y a pas besoin d'intervention externe, ça s'engueule de l'intérieur) ;
google a réussi à déployer plus de noyau linux que le monde du libre ne sera (pour l'instant) capable de faire, le tout en le rendant bien invisible, d'où mon terme "privatisation" ;
la communauté linux n'est pas capable de promouvoir (ou en a peut être pas envie) un modèle de linux sans systématiquement arriver à une guerre interne.
good luck.le 08/12/2019 à 17:59 -
trvdcFutur Membre du ClubOui , je plussoie !
Que dire des virus pullulant dans le monde µsoft; des vaccins qu'il faille tenir à jour, sans fin ...
Alors, dire que windows est sûr, je me gausse.
Et puis, faut être sérieux : il suffit de se renseigner sur la liste des gouvernements ( et plusieurs de nos ministères) qui ont choisit Linux et les logiciels libres par sécurité !!
Windows propose d'enregistrer un document avec mot de passe ; mais c'est du pipeau !
Non ,il y a pas photo !le 10/12/2019 à 17:45 -
niuxeMembre régulierpaye ton troll ignorant (pléonasme) ....
Encore une victime d'une "pigeonade"
Je ne vais pas reprendre ce que vient d'éditer darklinux. C'est pertinent ! Mais je vais être encore plus pertinent :
Microsoft est en avance devant GNU/Linux ?
Tout ce qu'on aime ou qu'on aimait dans windows :
- pendant longtemps les liens symboliques, on aimait ça
- à quand un système d'onglet ?
- rooooohhhh, les bureaux virtuels
- l'ergonomie générale est largement supérieur à Apple ou Linux (surtout windows 8 ==> lorsque les users ralaient pour avoir le menu démarrer)
- la sécurité, ça toujours était le top
- le code propriétaire
- ms dos est largement supérieur au terminal Unix/unix-like (c'est connu)
- Installer apache postgrsql/MySql PHP/Python avec Vhost et tout le toin toin, c'est easy (hop hop, pas question d'utiliser wamp/xamp/easyphp/laragon)
- docker pendant un bon moment c'était top....
- nodejs avec un disque partitionné usine, le top du top
- redis, c'est super à utiliser
- etc.
Après avoir écrit ça, on pourrait croire que je peste contre µ$oft. Bah c'est pas le cas ! Windows est un bon os mais on est contraint à être dans un environnement windows. On veut développer ? Bah c'est SQL server (excellent outil) et .not (avec ses standards propres à µ$oft). La logithèque de µ$oft est juste énorme.
Là je suis sur un windows. Mais si je veux bosser sereinement, je passe sous Linux.
Quand je dis : "Encore une victime d'une "pigeonade" ", c'est parce que µ$oft a toujours essayer de faire croire qu'ils étaient en avance. Or c'est totalement faux. Ils ont toujours copié !
Quand j'ai appris la mort de S. Job, je m'en foutais grave. La mort de Ballmer, ce sera pareil. Par contre, quand j'ai appris la mort de Ian Murddock, là je me suis dit, on perd gros !le 12/12/2019 à 22:10 -
ChezkeleMembre éprouvé
Envoyé par SimonDecoline le 16/12/2019 à 20:54