| |||||
auteur : zdra | |||||
1) Télécharger le driver sur le site de nvidia
2) Il faut quitter le mode graphique pour l'installation :
3) Installation du driver :
4) Il faut dire à XFree d'utiliser le nouveau driver :
On a quelque chose qui ressemble à ça :
Remplacer "nv" par "nvidia". 5)On relance l'interface graphique et on admire le logo nvidia au démarrage :
6) On peut tester l'accélération 3D en jouant à tuxracer par exemple... Si ça ne saccade par ENORMEMENT, c'est gagné ! | |||||
lien : Installer une geforce 4 sous debian GNU/Linux |
| |||
auteur : nyal | |||
Vous avez plusieurs choix possibles :
Pour la configuration automatisée, exécutez :
Cette commande crée un fichier de configuration nommé XF86Config dans le répertoire /root.
Editez le fichier de configuration :
Copiez le fichier:
|
| ||
auteur : nyal | ||
Si votre souris ne fonctionne pas, vous avez plusieurs possibilités :
Le problème avec la souris peut provenir d'un mauvais choix de protocole ou de device. Voici une partie d'un fichier type XF86Config ou XF86Config-4 (/etc/X11) :
Si vous possédez une souris classique, le protocole ImPS/2 conviendra parfaitement.
En ce qui concerne l'option "Device", l'élément "/dev/mouse" lui a été affecté. Ce lien dépend du type de la souris :
ps : il se peut que vous deviez charger des modules du noyau pour son bon fonctionnement (par exemple les modules USB pour une souris USB).
|
| |||||||
auteurs : Francois Trazzi, Olivier Van Hoof (ovh) | |||||||
Si vous possédez une carte réseau de type Ethernet (ce qui est probablement le cas), vous devez obligatoirement avoir ethX en plus de lo (interface de loopback) dans la liste des interfaces réseau disponibles (pour la voir tapez ifconfig en root). Si ce n'est pas le cas, votre carte n'est pas reconnue... ou est démontée :
pour la remonter. Si la carte n'est pas reconnue, il faudra charger le module approprié du noyau. Les modules les plus courants actuellement sont 8139too (chipset Realtek) et via-rhine (cartes D-Link par ex).
Pour spécifier une adresse ip, il suffit de taper :
X.X.X.X correspondant à l'adresse ip et X de ethX correspondant au numéro de votre carte Ethernet. Si vous désirez retirer une éventuelle adresse ip (dans le but par exemple de négocier une connexion pppoe), tapez simplement :
Pour configurer la passerelle (gateway) de votre réseau, utilisez la commande route comme suit :
La commande route -n affiche la table de routage complète, ce qui nous permet de vérifier la configuration :
Indiquez ensuite vos serveurs de résolution de nom (DNS) dans le fichier /etc/resolv.conf :
Les adresses des DNS sont fournis par votre administrateur réseau ou par votre FAI. Ceci est la méthode générique, cependant la configuration réseau est très souvent reprise dans un script ou un fichier de configuration dont la syntaxe est propre à chaque distribution, et qui sera lu/exécuté au démarrage de la machine. De plus les distributions offrent la plupart du temps des assistants de configuration, que ce soit en console ou en mode graphique. | |||||||
lien : Comment configurer une carte réseau sous Debian ? lien : Comment configurer le réseau ? |
| ||
auteurs : nyal, Sylvain Luce | ||
Vérifiez si vous avez la commande mii-tool (commande root). Si vous n'avez pas la commande, installez-la (package net-tools). Exemple pour forcer l'utilisation de sa carte en 100Mbit, full Duplex :
Les possibilités sont :100baseT4, 100baseTx-FD,100baseTx-HD, 10baseT-FD, ou 10baseT-HD. La modification est immédiate et persistante. |
| ||||||
auteurs : nyal, sinarf, Olivier Van Hoof (ovh) | ||||||
Activer le numlock :
Désactiver le numlock :
Pour que ce soit automatique, il faut ajouter la ligne suivante au fichier .xinitrc ou .xsession avant le lancement du window manager :
Sans le X : Sur la gentoo il y a un script d'initialisation qui le valide sur toutes les consoles :
Et pour que ce soit automatique au démarrage :
Sous Debian pour la console, il y a un fichier de configuration /etc/console-tools/config dans lequel il faut aller décommenter/ajouter la ligne suivante (dernière ligne du fichier) :
|
| ||
auteur : Olivier Van Hoof (ovh) | ||
J'ai écrit un article complet sur le sujet ;) |
| ||
auteur : Olivier Van Hoof (ovh) | ||
Aujourd'hui, la gestion des imprimantes passe par le programme CUPS. Une fois installé, le démon offre une interface web sur le port 631, il suffit donc de visiter l'url http://localhost:631 en mode graphique pour avoir accès à la configuration. Il est assez aisé d'ajouter une imprimante. Pour savoir si votre imprimante est bien supportée, ou pour télécharger le fichier PPD approprié à indiquer à CUPS pour dialoguer avec votre imprimante, visitez le site linuxprinting.org. |
| ||
auteur : Olivier Van Hoof (ovh) | ||
La gestion des scanners sous linux passe par le programme SANE qui supporte la plupart des scanners modernes. Si votre scanner est USB, veillez à ce que le module approprié soit chargé, ce qui est le cas sur les noyaux fournis par défaut avec les distributions actuelles. Il vous suffira donc d'installer sane, et son front-end graphique xsane qui vous permettra de paramétrer le scanner et numériser directement. Attention, vous devrez veiller à inclure vos utilisateurs dans le groupe système "scanner" (adduser toto scanner) sans quoi l'accès au scanner leur sera refusé. Certaines applications graphiques comme Gimp peuvent faire appel à sane de manière intrinsèque pour acquérir une image. |
| ||
auteur : Sylvain Luce | ||
Quand l'hyperthreading est actif sous Linux, le noyau voit deux CPUs logiques au
lieu d'un (visible dans /etc/cpuinfo). Comment distinguer alors les CPUs
physique et logique ?
Très simplement, en regardant le physical id du CPU ! Dans votre /proc/cpuinfo, vous observez ceci
Cela signifie que vous avez deux CPUs physiques mais quatre logiques!
L'hyperthreading est actif
Sinon, vous auriez :
|
| |||||
auteur : Nicolas Vallée | |||||
Voici une méthode à appliquer si vous souhaitez faire un driver avec
ndiswrapper :
|
| ||||
auteur : Olivier Van Hoof (ovh) | ||||
Nous partons de l'exemple d'un serveur en production avec un système de RAID-1 logiciel sous linux géré par mdadm. Il y a donc 2 disques durs identiques en mode miroir : tout ce qui est écrit sur un disque est cloné sur le 2e disque. Tout le système a été placé dès l'installation sur une seule partition RAID /dev/md0, et on a un petit swap sur chaque disque (en sda2 et sdb2, ce sont des disques SATA). Donc sda1 = partition raid (formatée en ext3, reiserfs ou autre), sda2 et sdb2 = swap. 1. Débrancher câble réseau (évite l'utilisation du serveur pendant la maintenance). A noter que techniquement tout peut être fait à chaud au niveau logiciel, et même pour (dé)brancher les disques si le hardware est prévu pour (SATA / baies hotswap). Néanmoins, comme certains reboots de test sont conseillés, il vaut mieux débrancher pour être tranquille. 2. Serveur allumé dans l'état actuel, on retire au niveau logiciel le disque défectueux de l'array RAID :
3. Rendre sdb1 bootable avec cfdisk, et installer le MBR Grub sur sdb avec les commandes suivantes dans le prompt de grub (taper grub pour y accéder) :
4. Rebooter, modifier le BIOS pour lui dire de booter sur le disque 2 (sdb), et tester que tout démarre normalement. Sinon Knoppix et chroot pour résoudre le problème. 5. Remplacer le disque dur défectueux (si hotswap ou même SATA en théorie, pas besoin d'éteindre la machine). 6. Partitionner le disque en 2 partitions de tailles exactement identiques à l'installation originale(cfdisk) :
7. Remonter le raid :
8. La reconstruction démarre aussitôt automatiquement, on peut surveiller la progression en tapant cat /proc/mdstat périodiquement. Pendant la reconstruction, rebrancher le câble réseau pour que le serveur soit à nouveau utilisable. A la fin, un message l'indique sur la console locale. Vérifier que les 2 disques sont bien utilisés avec cat /proc/mdstat le code UU doit apparaître à la fin. 9. Réinstaller Grub aussi sur le nouveau disque (+ changer boot BIOS sur disque 1) :
10. Une fois que c'est fini, rebooter une dernière fois pour être sûr que tout est ok. Toute l'opération décrite a été réalisée telle quelle par mes soins lors d'une intervention réelle sur un serveur mail en production dans un réseau d'une quarantaine de personnes. |
Les sources présentées sur cette page sont libres de droits et vous pouvez les utiliser à votre convenance. Par contre, la page de présentation constitue une œuvre intellectuelle protégée par les droits d'auteur. Copyright © 2005 Developpez Developpez LLC. Tous droits réservés Developpez LLC. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce site ni de l'ensemble de son contenu : textes, documents et images sans l'autorisation expresse de Developpez LLC. Sinon vous encourez selon la loi jusqu'à trois ans de prison et jusqu'à 300 000 € de dommages et intérêts.